Auteur Charles Vion D’alibray

Tirsis, laisse parler le vulgaire insensé Et n’ecoute jamais sinon ta conscience, Chez elle seulement est le siege dressé Qui […]

Songe, songe Mortel, que tu n’es rien que cendre Et l’asseuré butin d’un funeste cercueil, Porte haut tes desseins, porte […]

Cleon, depuis le temps que tu perdis ton pere, Tu vivois avec nous, comme l’un d’entre nous, On ne t’en […]

Maintenant qu’un air doux nous ramene un beau Jour, Considere, Phyllis, cette Saison nouvelle, Comme elle rit au Ciel, et […]

Ton corps plus doux que ton esprit S’exposait hier à ma vue, Et d’un transport qui me surprit Soulageait l’ardeur […]

Aime, si tu le veux, je ne l’empesche pas, Mais aime pour le moins en homme de courage ; N’asservis […]

J’ay fait des vers toute ma vie Et j’ay toute ma vie aimé ; Ma pauvre veine en est tarie, […]

Je ne t’impute point l’amour que je te porte, D’un objet tout divin mes sens y sont forcez, Je sçay […]

Je ne vay point aux coups exposer ma bedaine Moy qui ne suis connu n’y d’Armand ni du Roy ; […]