Plan du site
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Billets
- Catégorie : Victor Hugo (continued)
- Jeanne fait son entrée
- Jeanne songeait
- Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir
- Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites
- Joies du soir
- Jolies femmes
- Jour de fête
- Jour de fête aux environs de Paris
- L'art et le peuple
- L'aube est moins claire
- L'aurore s'allume
- L'autre
- L'échafaud
- L'enfance
- L'enfant
- L'expiation
- L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours
- L'ombre
- L'oubli
- L'univers, c'est un livre
- La blanche Aminte
- La captive
- La chanson de Maglia
- La cicatrice
- La coccinelle
- La conscience
- La douleur du pacha
- La fête chez Thérèse
- La fiancée du timbalier
- La Figliola
- La hache? Non. Jamais
- La méridienne du lion
- La nature
- La nature est pleine d'amour
- La nichée sous le portail
- La pauvre fleur disait au papillon céleste
- La pente de la rêverie
- La plume de Satan
- La prisonnière passe
- La rose de l'infante
- La sieste
- La sortie
- La source
- La source tombait du rocher
- La statue
- La sultane favorite
- La Terre - Hymne
- La tombe dit à la rose
- La vie aux champs
- La ville prise
- La vision de Dante
- Laetitia rerum
- Laissez. - Tous ces enfants sont bien là
- Lazzara
- Le cantique de Bethphagé
- Le champ du potier
- Le couchant flamboyait à travers les bruines
- Le crapaud
- Le crucifix
- Le deuil
- Le doigt de la femme
- Le firmament est plein de la vaste clarté
- Le hibou
- Le manteau impérial
- Le matin
- Le mendiant
- Le poème éploré se lamente
- Le poète bat aux champs
- Le poète dans les révolutions
- Le poète s'en va dans les champs
- Le pot cassé
- Le Progrès calme et fort
- Le ravin
- Le rouet d'Omphale
- Le sacre de la femme - Ève
- Le sacre de la femme - Ineffable lever
- Le satyre
- Le soleil était là qui mourait dans l'abîme
- Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées
- Le trouble-fête
- Le vieillard chaque jour dans plus d'ombre s'éveille
- Les autres en tout sens laissent aller leur vie
- Les Djinns
- Les enfants lisent, troupe blonde
- Les enfants pauvres
- Les femmes sont sur la terre
- Les forts
- Les fusillés
- Les innocents
- Les martyres
- Les oiseaux
- Les pauvres gens
- Les paysans au bord de la mer
- Les siècles sont au peuple
- Les tronçons du serpent
- Lettre à une femme
- Liberté!
- Lise
- Lorsque l'enfant paraît
- Lorsque ma main frémit si la tienne l'effleure
- Lux
- Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé
- Magnitudo parvi
- Mai
- Mais tu brûles!
- Malédiction
- Me voici! c'est moi! Rochers, plages
- Melancholia
- Mes deux filles
- Mes poèmes!
- Mon bras pressait ta taille frêle
- Mors
- Mugitusque boum
- N'envions rien
- N'est-ce pas, mon amour, que la nuit est bien lente
- Non
- Nos morts
- Nous
- Nous allions au verger cueillir des bigarreaux
- Nouvelle chanson sur un vieil air
- Novembre
- Nuit
- Nuit tombante
- Nuits d'hiver
- Nuits de juin
- Ô Charles, je te sens près de moi
- Ô gouffre! l'âme plonge et rapporte le doute
- Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse
- Ô Rus
- Ô soldats de l'an deux!
- Ô souvenirs! printemps! aurore!
- Ô temps! si l'on pouvait dans ton urne profonde
- Oceano nox
- Oh! dis! pourquoi toujours regarder sous la terre
- Oh! je fus comme fou
- Oh! n'insultez jamais une femme qui tombe!
- Oh! pour remplir de moi ta rêveuse pensée
- Oh! quand je dors
- Oh! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage
- On vit, on parle
- Où donc est la clarté? Cieux, où donc est la flamme?
- Où donc est le bonheur? disais-je
- Oui, je suis le rêveur
- Paris bloqué
- Paris incendié
- Paroles sur la dune
- Passé
- Pasteurs et troupeaux
- Pendant que le marin
- Pepita
- Petit Paul
- Pleurs dans la nuit
- Premier mai
- Près d'Avranches
- Printemps
- Prologue
- Promenades dans les rochers (I)
- Promenades dans les rochers (II)
- Promenades dans les rochers (III)
- Promenades dans les rochers (IV)
- Puisqu'ici-bas toute âme
- Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine
- Puisque le juste est dans l'abîme
- Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame
- Puisque nos heures sont remplies
- Pure innocence
- Quand deux coeurs en s'aimant ont doucement vieilli
- Quand la lune apparaît dans la brume des plaines
- Quand le livre où s'endort chaque soir ma pensée
- Quand les guignes furent mangées
- Quand nous habitions tous ensemble
- Que t'importe, mon coeur
- Quelle est la fin de tout?
- Quelques mots à un autre
- Regard jeté dans une mansarde
- Regardez : les enfants se sont assis en rond
- Rêverie
- Ronde pour les enfants
- Rosa fâchée
- Saison des semailles. Le soir
- Sara la baigneuse
- Satan dans la nuit - I
- Satan dans la nuit - II
- Satan pardonné
- Soir
- Soleils couchants
- Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée
- Sous les arbres
- Souvenir de la nuit du 4
- Spectacle rassurant
- Stella
- Sur la falaise
- Sur une barricade
- Suzette et Suzon
- Tous les hommes sont l'Homme
- Toute la vie d'un coeur - 1817 - Adolescence
- Toute la vie d'un coeur - 1819
- Toute la vie d'un coeur - 1820
- Toute la vie d'un coeur - 1822 - Quinze-vingt
- Toute la vie d'un coeur - 1826
- Toute la vie d'un coeur - 1833 - A J
- Toute la vie d'un coeur - 1835 - Promenade
- Tristesse d'Olympio
- Trois ans après
- Tu me vois bon charmant et doux
- Tu rentreras comme Voltaire
- Ultima verba
- Un grand sabre serait d'utilité publique
- Un groupe tout à l'heure était là sur la grève
- Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble
- Un jour au mont Atlas
- Un jour je vis le sang couler de toutes parts
- Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants
- Un manque
- Un soir que je regardais le ciel
- Une bombe aux Feuillantines
- Une femme m'a dit ceci : - J'ai pris la fuite
- Une nuit à Bruxelles
- Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir
- Unité
- Veni, vidi, vixi
- Vénus
- Vere novo
- Vers 1820
- Vieille chanson du jeune temps
- Viens! - une flûte invisible
- Vision sombre! un peuple en assassine un autre
- Vivants
- Voeu
- Voici que la saison décline
- Vois, cette branche est rude, elle est noire
- Voyons, d'où vient le verbe? Et d'où viennent les langues?
- Catégorie : Victor Segalen
- Attisement
- Aux dix mille années
- Conseils au bon voyageur
- Contemplation
- Des lointains
- Doute
- Eloge d'une vierge occidentale
- Eloge de la jeune fille
- Extase
- Jade faux
- Les cinq relations
- Les trois hymnes primitifs
- Libération
- Médiation
- Moment
- Mon amante a les vertus de l'eau
- Perdre le midi quotidien
- Pour lui complaire
- Religion lumineuse
- Résolution
- Retombée
- Sans méprise
- Soeur équivoque
- Stèle des pleurs
- Stèle provisoire
- Supplique
- Trahison fidèle
- Vent des Royaumes
- Visage dans les yeux
- Catégorie : Vincent Campenon
- Catégorie : Vincent Voiture
- À une Demoiselle qui avait les manches
- Ballade
- Belles fleurs, dont je voy ces jardins embellis
- Ce soir que vous ayant seulette rencontrée
- Chanson
- Cinq ou six fois cette nuict en dormant
- D'un buveur d'eau, comme avez débattu
- Dans la prison qui vous va renfermant
- Dedans ces prés herbus et spacieux
- Des portes du matin l'Amante de Céphale
- Epitaphe
- Il faut finir mes jours en l'amour d'Uranie
- J'avois de l'Amour pour vous
- Je me meurs tous les jours en adorant Sylvie
- L'Amour sous sa loy
- Le Soleil ne voit icy ba
- Lors qu'avecque deux mots que vous daignâtes dire
- Ma foi, c'est fait de moi
- Mon âme, à Dieu, quoi que le coeur m'en fende
- Nostre Aurore vermeille
- Ou vous sçavez tromper bien finemen
- Placet à une Dame
- Pour vos beaux yeux autheurs de mon trespas
- Pour vos beaux yeux et vostre beau visage
- Pour vos beaux yeux qui me vont consumant
- Quand Iris aux beaux yeux
- Regrets sur la mort du Rondeau
- Si haut je veux louër Sylvie
- Sous un habit de fleurs, la Nymphe que j'adore
- Stances - A une Demoiselle
- Stances - sur une Dame
- Tout beau corps, toute belle image
- Trois jours entiers, et trois entieres nuits
- Vous de qui l'oeil est mon vainqueur
- Catégorie : Vital D' Audiguier de La Menor
- Catégorie : Wilfrid Challemel
- Catégorie : William Chapman
- Catégorie : Xavier Forneret
- Catégorie : Zoé Fleurentin
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