Auteur Jacques Grévin

Ce n’est plus moy que veult faire d’un rien grand’chose ; Je ne cizelle plus sur l’immortalité Le soudain changement […]

Délivre-moi, Seigneur, de cette mer profonde Où je vogue incertain, tire-moi dans ton port : Environne mon coeur de ton […]

Tout passe par leurs mains, rien ne se fait sans eux, Ils ont sur le Royaume une pleine puissance, On […]

L’esprit divin, dont l’immortelle essence Premierement vint de la main des dieux, Se voyant prest de s’envoler aux Cieux Pour […]

Le ris de ma Maistresse est un Printemps de roses, De boutons, et d’oeillets, et sa chaste beauté Représente à […]

Ces beaux cheveux crêpés, qu’en mille et mille sortes Tu trousses bravement sur le haut de ton front, Dedans vingt […]

Sa flame est morte et la mienne a pris vie, Ainsi qu’on voit l’arbrisseau renaissant Au pied du tronc qui […]

Plus je suis tourmenté, plus je me sens heureux Plus je suis assailli, et plus je me renforce, Plus j’ay […]

L’automne suit l’Esté et la belle verdure Du printemps rajeuni est ensuvant l’yver, Tousjours sur la marine on ne voit […]

Souffle dans moy, Seigneur, souffle dedans mon âme Une part seulement de ta saincte grandeur ; Engrave ton vouloir au […]

J’ay trop servi de fable au populaire En vous aymant, trop ingrate maistresse ; Suffise vous d’avoir eu ma jeunesse. […]