Auteur Jules Barbey D’aurevilly

Ex imo. C’était dans la ville adorée, Sarcophage pour moi des premiers souvenirs, Où tout enfant j’avais, en mon âme […]

Oh! pourquoi voyager? as-tu dit. C’est que l’âme Se prend de longs ennuis et partout et toujours ; C’est qu’il […]

A Mademoiselle Marthe Brandès. Te souviens-tu du soir, où près de la fenêtre Ouverte d’un salon plein de joyeux ébats, […]

A Mademoiselle Louise Read. Un soir, j’étais debout, auprès d’une fenêtre… Contre la vitre en feu j’avais mon front songeur, […]

A Clara. Oh! les yeux adorés ne sont pas ceux qui virent Qu’on les aimait, – alors qu’on en mourait […]

A la baronne H. de B. Nénuphars blancs, ô lys des eaux limpides, Neige montant du fond de leur azur, […]

A***. Je vivais sans coeur, tu vivais sans flamme, Incomplets, mais faits pour un sort plus beau ; Tu pris […]

A Clary. Tu ne sais pas, Clary, quand, heureuse, ravie, Tu me tends ton épaule et ton front tour à […]

Elle avait dix-neuf ans. Moi, treize. Elle était belle ; Moi, laid. Indifférente, – et moi je me tuais… Rêveur […]

Je pris pour maître, un jour, une rude Maîtresse, Plus fauve qu’un jaguar, plus rousse qu’un lion! Je l’aimais ardemment, […]

A Armance. Eh quoi! vous vous plaignez, vous aussi, de la vie! Vous avez des douleurs, des ennuis, des dégoûts! […]

Débouclez-les, vos longs cheveux de soie, Passez vos mains sur leurs touffes d’anneaux, Qui, réunis, empêchent qu’on ne voie Vos […]