Auteur Louis Bouilhet

La fleur Ing-wha, petite et pourtant des plus belles, N’ouvre qu’à Ching-tu-fu son calice odorant ; Et l’oiseau Tung-whang-fung est […]

Ce n’est pas le vent seul, quand montent les marées, Qui se lamente ainsi dans les goémons verts, C’est l’éternel […]

Oh! Votre voix sonnait brève, lente ou pressée, Suivant les passions et les rhythmes divers, Puis, s’échappant soudain légère et […]

À mon ami Alfred Foulongne. Hao! Hao! c’est le barbier Qui secoue au vent sa sonnette! Il porte au dos, […]

Tu n’as jamais été, dans tes jours les plus rares, Qu’un banal instrument sous mon archet vainqueur, Et, comme un […]

Le long du fleuve jaune, on ferait bien des lieues, Avant de rencontrer un mandarin pareil. Il fume l’opium, au […]

(Song-Tchi-Ouen) Le vent avait chassé la pluie aux larges gouttes, Le soleil s’étalait, radieux, dans les airs, Et les bois, […]

Sonnet Quoi! Sans te soucier de l’océan qui gronde, Tu veux ta place à bord, sur mon vaisseau perdu ; […]

Quand, sur le grand taureau, tu fendais les flots bleus, Vierge phénicienne, Europe toujours belle, La mer, soumise au Dieu, […]

Savez-vous pas quelque douce retraite, Au fond des bois, un lac au flot vermeil, Où des palmiers la grande feuille […]

Quand chassés, sans retour, des temples vénérables, Tordus au vent de feu qui soufflait du Thabor, Les grands olympiens étaient […]