Chant d’amour (I)
Naples, 1822. Si tu pouvais jamais égaler, ô ma lyre, Le doux frémissement des ailes du zéphyre À travers les […]
Poèmes en français
Naples, 1822. Si tu pouvais jamais égaler, ô ma lyre, Le doux frémissement des ailes du zéphyre À travers les […]
(extraits, 9ème époque) … Déjà, tout près de moi, j’entendais par moments Monter des pas, des voix et des mugissements […]
O néant! ô seul Dieu que je puisse comprendre! Silencieux abîme où je vais redescendre, Pourquoi laissas-tu l’homme échapper de […]
Murmure autour de ma nacelle, Douce mer dont les flots chéris, Ainsi qu’une amante fidèle, Jettent une plainte éternelle Sur […]
Le feu divin qui nous consume Ressemble à ces feux indiscrets Qu’un pasteur imprudent allume Aux bord de profondes forêts; […]
(A M. de la Mennais) Oui, mon âme se plaît à secouer ses chaînes : Déposant le fardeau des misères […]
Pourquoi le prononcer ce nom de la patrie? Dans son brillant exil mon coeur en a frémi ; Il résonne […]
Naître avec le printemps, mourir avec les roses, Sur l’aile du zéphyr nager dans un ciel pur, Balancé sur le […]
Heureux l’oeil éclairé de ce jour sans nuage Qui partout ici-bas le contemple et le lit! Heureux le coeur épris […]
A M. A. de V***. Arrêtons-nous sur la colline A l’heure où, partageant les jours, L’astre du matin qui décline […]
Aux bords de ton lac enchanté, Loin des sots préjugés que l’erreur déifie, Couvert du bouclier de ta philosophie, Le […]
L’aurore se levait, la mer battait la plage ; Ainsi parla Sapho debout sur le rivage, Et près d’elle, à […]
A de plus hauts degrés de l’échelle de l’être En traits plus éclatants Jehova va paraître, La nuit qui le […]
Comme l’astre adouci de l’antique Elysée, Sur les murs dentelés du sacré Colysée, L’astre des nuits, perçant des nuages épars, […]
Voilà les feuilles sans sève Qui tombent sur le gazon, Voilà le vent qui s’élève Et gémit dans le vallon, […]
Quand le souffle divin qui flotte sur le monde S’arrête sur mon âme ouverte au moindre vent, Et la fait […]
(extrait, 9ème époque) Marthe filait, assise en haut sur le palier. Son fuseau de sa main roula sur l’escalier ; […]
Oui, l’Anio murmure encore Le doux nom de Cynthie aux rochers de Tibur, Vaucluse a retenu le nom chéri de […]
Roulez dans vos sentiers de flamme, Astres, rois de l’1immensité! Insultez, écrasez mon âme Par votre presque éternité! Et vous, […]
Pourtant le soir qui tombe a des langueurs sereines Que la fin donne à tout, aux bonheurs comme aux peines […]