Spencer wood
A Mlles Letellier de Saint-Just En amont de Québec, on fait la découverte D’un pavillon tout blanc coquettement posé Sur […]
Poèmes en français
A Mlles Letellier de Saint-Just En amont de Québec, on fait la découverte D’un pavillon tout blanc coquettement posé Sur […]
A mon ami, M. le sénateur Forget Voici le flot jaseur ; le castel est tout proche, Encadré de jardins, […]
Aux pans du ciel l’hiver drape un nouveau décor ; Au firmament l’azur de tons roses s’allume ; Sur nos […]
C’est Paris, saluons la grande capitale Où tout ce qu’on rêva se trouve réuni ; Où merveille partout sur merveille […]
Chateau de Prosper Blanchemain Ce fut, dit-on, jadis un paisible couvent Coquettement caché sur les bords où la Creuse Avec […]
Massifs harmonieux, édens des flots tranquilles, D’oasis aux fleurs d’or innombrables réseaux, Que la vague caresse et que les blonds […]
A l’occasion de leur mariage Voici la saison des pervenches Par les ravins et les closeaux, L’ombre palpite sous les […]
Baigne mes pieds du cristal de tes ondes, O ma fontaine! et sur ton frais miroir, Laisse tomber mes longues […]
Chênes au front pensif, grands pins mystérieux, Vieux troncs penchés au bord des torrents furieux, Dans votre rêverie éternelle et […]
Ami, sur le flot noir ou la vague opaline, Naïfs fervents du Rêve ou jouets du Destin, Bien longtemps nous […]
Jours de deuil! Plus de nids sous le feuillage vert ; Les chantres de l’été désertent nos bocages ; On […]
Depuis les feux de l’aube aux feux du crépuscule, Le soleil verse à flots ses torrides rayons ; On voit […]
A vingt ans, poète aux abois, Quand revenait la saison rose, J’allais promener sous les bois Mon coeur morose. A […]
Cela forme deux rangs de massifs promontoires, Gigantesque crevasse ouverte, aux premiers jours, Par quelque cataclysme, et qu’on croirait toujours […]
Robuste, et largement appuyé sur sa base, Le colosse trapu s’avance au sein des flots ; Sur son flanc tout […]
C’est l’automne. Le vent balance Les ramilles, et par moments Interrompt le profond silence Qui plane sur les bois dormants. […]
La pâle nuit d’automne De ténèbres couronne Le front gris du manoir ; Morne et silencieuse, L’ombre s’assied, rêveuse, Sous […]
O frais miroir! Sa nappe humide se découpe Dans les sables un lit paisible au creux d’un val ; Des […]
Les feuilles des bois sont rouges et jaunes ; La forêt commence à se dégarnir ; L’on se dit déjà […]
Encaissé dans un lit aux arêtes rugueuses, Entre deux pans abrupts rongés par le courant, Tout au fond d’un ravin […]