Auteur René Ghil

Pour les Fagots du Four, antre Clair-vespéralement qui se voûte d’ors, où Cuire l’éternel pain rondi, même lors qu’entre Le […]

Tuant, sur un sopha, sonneur des modes las, Amant des rimes d’or rarissimes et vierges, Dans les rêves le spleen, […]

Vie, et ride des eaux, depuis que hors l’amère Navrure de ses Yeux son âme ne sourd plus, De ses […]

Il ne veut pas dormir, mon Petit… Mon petit Ne veut pas dormir, et rit! et tend à la lumière […]

Tout moderne, et voyant de nos modernes âmes, Des soirs vieux, malgré lui, hors du Vrai, sans paphos Où des […]

Ainsi qu’une prière et qu’un ennui, soleilles – Tu, lune pleine! haut au haut des peupliers! Tout a l’air d’eaux […]

Un soir l’Orgue d’église aux spasmes des Violons Montait loin sa douleur sourde en les râles longs : Voix de […]

En m’en venant au tard de nuit Se sont éteintes les ételles : Ah! que les roses ne sont-elles Tard […]

Menez-les, les Chevaux du vent du Sud, à la rivière Menez-les!… Dans l’entame de leurs plaies Pareilles au sexe des […]

La Ville au loin monte des voeux immolateurs… Par les vitres en haut, la Ville, – aux Yeux – à […]

Ma Triste, les oiseaux de rire Même l’été ne voient pas Au Mutisme de morts de glas Qui vint aux […]

Ah! sur les terrasses en prenant nos épaules Longtemps, parmi la nuit d’étoiles à meurtrir Notre gloire, passons! Mes Yeux […]