Chansons bas
I (le Savetier) Hors de la poix rien à faire, Le lys naît blanc, comme odeur Simplement je le préfère […]
Poèmes en français
I (le Savetier) Hors de la poix rien à faire, Le lys naît blanc, comme odeur Simplement je le préfère […]
Tout à coup et comme par jeu Mademoiselle qui voulûtes Ouïr se révéler un peu Le bois de mes diverses […]
Si tu veux nous nous aimerons Avec tes lèvres sans le dire Cette rose ne l’interromps Qu’à verser un silence […]
Le temple enseveli divulgue par la bouche Sépulcrale d’égout bavant boue et rubis Abominablement quelque idole Anubis Tout le museau […]
(pour des Esseintes) Hyperbole! de ma mémoire Triomphalement ne sais-tu Te lever, aujourd’hui grimoire Dans un livre de fer vêtu […]
Las de l’amer repos où ma paresse offense Une gloire pour qui jadis j’ai fui l’enfance Adorable des bois de […]
A la fenêtre recélant Le santal vieux qui se dédore De sa viole étincelant Jadis avec flûte ou mandore, Est […]
La jeune dame qui marche sur la pelouse Devant l’été paré de pommes et d’appas, Quand des heures Midi comblé […]
Prends ce sac, Mendiant! tu ne le cajolas Sénile nourrisson d’une tétine avare Afin de pièce à pièce en égoutter […]
D’une verrerie éphémère Sans fleurir la veillée amère Le col ignoré s’interrompt. Je crois bien que deux bouches n’ont Bu, […]
O si chère de loin et proche et blanche, si Délicieusement toi, Mary, que je songe À quelque baume rare […]
Quand l’ombre menaça de la fatale loi Tel vieux Rêve, désir et mal de mes vertèbres, Affligé de périr sous […]
Au-dessus du bétail ahuri des humains Bondissaient en clartés les sauvages crinières Des mendieurs d’azur le pied dans nos chemins. […]
Le soleil, sur le sable, ô lutteuse endormie, En l’or de tes cheveux chauffe un bain langoureux Et, consumant l’encens […]
Le printemps maladif a chassé tristement L’hiver, saison de l’art serein, l’hiver lucide, Et, dans mon être à qui le […]
Je t’apporte l’enfant d’une nuit d’Idumée! Noire, à l’aile saignante et pâle, déplumée, Par le verre brûlé d’aromates et d’or, […]
Las du triste hôpital, et de l’encens fétide Qui monte en la blancheur banale des rideaux Vers le grand crucifix […]
Ce me va hormis l’y taire Que je sente du foyer Un pantalon militaire À ma jambe rougeoyer L’invasion je […]
La lune s’attristait. Des séraphins en pleurs Rêvant, l’archet aux doigts, dans le calme des fleurs Vaporeuses, tiraient de mourantes […]
Rien, cette écume, vierge vers A ne désigner que la coupe ; Telle loin se noie une troupe De sirènes […]