Quant vint a la prochaine feste
Quant vint a la prochaine feste Qu’Amours tenoit son parlement, Je lui presentay ma requeste Laquelle leut tresdoulcement, Et puis […]
Poèmes en français
Quant vint a la prochaine feste Qu’Amours tenoit son parlement, Je lui presentay ma requeste Laquelle leut tresdoulcement, Et puis […]
En acquittant nostre temps vers jeunesse, Le nouvel an et la saison jolie, Plains de plaisir et de toute liesse […]
France, jadis on te soulait* nommer, En tous pays, le trésor de noblesse, Car un chacun pouvait en toi trouver […]
En verrai ge jamais la fin, De voz oeuvres, Merancolie? Quand au soir de vous me deslie Vous me ratachez […]
J’ay fait l’obseque de ma dame Dedens le moustier amoureux, Et le service pour son ame A chanté Penser doloreux. […]
Mon cueur m’a fait commandement De venir vers vostre jeunesse, Belle que j’ayme loyaument*, Comme doy faire ma princesse. Se […]
En la forest d’Ennuyeuse Tristesse, Un jour m’avint qu’a par moy cheminoye, Si rencontray l’Amoureuse Deesse Qui m’appella, demandant ou […]
Vostre bouche dit : Baisiez moy, Ce m’est avis quant la regarde ; Mais Dangier de trop prés la garde, […]
Qui? quoy? comment? a qui? pourquoy? Passez, presens ou avenir, Quant me viennent en souvenir, Mon cueur en penser n’est […]
Dedens mon Livre de Pensee, J’ay trouvé escripvant mon cueur La vraye histoire de douleur, De larmes toute enluminee, En […]
Ne hurtez plus a l’uis de ma pensee, Soing et Soussi, sans tant vous traveiller! Car elle dort et ne […]
Le lendemain du premier jour de may, Dedens mon lit ainsi que je dormoye, Au point du jour m’avint que […]
Fiés vous y! A qui? En quoy? Comme je voy, Riens n’est sans sy. Ce monde cy A sy Peu […]
En faictes vous doubte Que vostre ne soye? Se Dieu me doint joye Au cueur, si suis toute. Rien ne […]
Mon cuer, estouppe* tes oreilles Pour le vent de merencolie! S’il y entre, ne doubte mye, Il est dangereux a […]
Qui a toutes ses hontes beues, Il ne lui chault que l’en lui die, Il laisse passer mocquerie Devant ses […]
Escollier de Merencolie, A l’estude je suis venu, Lettres de mondaine clergie* Espelant a tout ung festu, Et moult fort […]
J’ayme qui m’ayme, autrement non ; Et non pour tant, je ne hay rien, Mais vouldroye que tout fust bien, […]
Ou puis parfont de ma merencolie L’eaue d’Espoir que ne cesse tirer, Soif de Confort la me fait desirer, Quoy […]
Dieu, qu’il la fait bon regarder, La gracieuse, bonne et belle! Pour les grans biens qui sont en elle, Chascun […]