Billets
- Catégorie : Stéphane Mallarme (continued)
- Catégorie : Théodore Agrippa D' Aubigné
- A l'éclair violent de ta face divine
- A longs filets de sang ce lamentable corps
- Bien que la guerre soit âpre, fière et cruelle
- Ce doux hiver qui égale ses jours
- Complainte à sa dame
- Contre la présence réelle
- Dans le parc de Thalcy, j'ai dressé deux plançons
- Diane, ta coutume est de tout déchirer
- En mieux il tournera l'usage des cinq sens
- En un petit esquif éperdu, malheureux
- Est-il donc vrai qu'il faut que ma vue enchantée
- Extase
- J'ouvre mon estomac, une tombe sanglante
- Je brûle avec mon âme et mon sang rougissant
- Je sens bannir ma peur et le mal que j'endure
- Jugement (1)
- Jugement (2)
- L'hiver du sieur d'Aubigné
- La chambre dorée
- Les lys me semblent noirs, le miel aigre à outrance
- Mais quoi! c'est trop chanté
- Mais quoi! déjà les Cieux s'accordent à pleurer
- Mille baisers perdus, mille et mille faveurs
- Misères
- N'a doncques peu l'amour d'une mignarde rage
- Nos désirs sont d'amour la dévorante braise
- Nous ferons, ma Diane, un jardin fructueux
- Ô divine Inconstance, aie pitié de moi
- Oui, je suis proprement à ton nom immortel
- Oui, mais ainsi qu'on voit en la guerre civile
- Pressé de désespoir, mes yeux flambants je dresse
- Prière du matin
- Prière du soir
- Pseaume troisième
- Puisque le cors blessé, mollement estendu
- Quand du sort inhumain les tenailles flambantes
- Quand mon esprit jadis sujet à ta colère
- Quiconque sur les os des tombeaux effroyables
- Réveil
- Ronsard si tu as su par tout le monde épandre
- Si vous voyiez mon coeur ainsi que mon visage
- Sort inique et cruel! le triste laboureur
- Soubs la tremblante courtine
- Soupirs épars, sanglots en l'air perdus
- Sous un oeil languissant et pleurant à demi
- Sus! que mon âme donc aille servir son âme
- Tout cela qui sent l'homme à mourir me convie
- Tu vois, juste vengeur, les fleaux de ton Eglise
- Un clairvoyant faucon en volant par rivière
- Usons ici le fiel de nos fâcheuses vies
- Voici la mort du ciel
- Vous qui avez écrit qu'il n'y a plus en terre
- Catégorie : Théodore de Banville
- Catégorie : Théodore Hannon
- Catégorie : Théophile de Viau
- Catégorie : Théophile Dondey Dit Philothée O'neddy
- Catégorie : Théophile Gautier
- A deux beaux yeux
- A travers les soupirs, les plaintes et le râle
- A une robe rose
- Adieux à la poésie
- Affinités secrètes
- Albertus, CX
- Albertus, CXI
- Albertus, CXII
- Albertus, I
- Albertus, II
- Albertus, IV
- Albertus, LX
- Albertus, LXXII
- Albertus, VII
- Albertus, VIII
- Albertus, XLIV
- Albertus, XLIX
- Apollonie
- Après le feuilleton
- Au bord de la mer
- Baiser rose, baiser bleu
- Bûchers et tombeaux
- Caerulei oculi
- Camélia et Pâquerette
- Carmen
- Ce que disent les hirondelles
- Consolation
- Contralto
- Coquetterie posthume
- Dans la Sierra
- Dernier voeu
- Diamant du coeur
- En allant à la Chartreuse de Miraflorès
- Étoiles, qui d'en haut voyez valser les mondes
- Fantaisies d'hiver
- Fumée
- In deserto
- J'ai dans mon coeur
- J'ai laissé de mon sein de neige
- J'étais monté plus haut
- L'art
- L'aveugle
- L'Escurial
- L'horloge
- L'obélisque de Luxor
- L'obélisque de Paris
- La bonne soirée
- La caravane
- La chimère
- La fellah
- La fleur qui fait le printemps
- La fontaine du cimetière
- La lune
- La mansarde
- La montre
- La mort est multiforme
- La nue
- La petite fleur rose
- La rose-thé
- La source
- La spirale sans fin dans le vide s'enfonce
- Lamento
- Le chasseur
- Le château du Souvenir
- Le laurier du Generalife
- Le merle
- Le monde est méchant
- Le pin des Landes
- Le poëme de la femme
- Le poète et la foule
- Le pot de fleurs
- Le roi solitaire
- Le souper des armures
- Le spectre de la rose
- Les accroche-coeurs
- Les colombes
- Les joujoux de la morte
- Les Néréides
- Les yeux bleus de la montagne
- Lied
- Me voilà revenu de ce voyage sombre
- Ne me sois pas marâtre, ô nature chérie
- Noël
- Odelette anacréontique
- Pendant la tempête
- Perspective
- Plaintive tourterelle
- Pluie
- Premier sourire du printemps
- Rondalla
- Séguidille
- Sérénade
- Soleil couchant
- Stances
- Sur le Carnaval de Venise I - Dans la rue
- Sur le Carnaval de Venise II - Sur les lagunes
- Sur le Carnaval de Venise III - Carnaval
- Sur le Carnaval de Venise IV - Clair de lune sentimental
- Symphonie en blanc majeur
- Tristesse en mer
- Une âme
- Vieux de la vieille
- Catégorie : Thérèse Maquet
- Catégorie : Thérèse Martin, Dite Sainte Thérèse de Lisieux
- Catégorie : Tristan Corbiere
- Catégorie : Urbain Chevreau
- Catégorie : Victor Brodeau
- Catégorie : Victor de Laprade
- Catégorie : Victor Hugo
- A Madame D. G. de G
- A mademoiselle Louise B
- A Mlle Fanny de P
- A Petite Jeanne
- A propos d'Horace
- A propos de dona Rosa
- A qui donc sommes-nous?
- A qui la faute?
- A quoi songeaient les deux cavaliers
- A un homme partant pour la chasse
- A un poète
- A un poète aveugle
- A une femme
- A une jeune fille
- A Vianden
- A Villequier
- A Virgile
- Abîme - L'Homme
- Abîme - La Voie Lactée
- Adieux de l'hôtesse arabe
- Ah! c'est un rêve! non! nous n'y consentons point
- Aimons toujours! Aimons encore!
- Air de la princesse d'Orange
- Âme! être, c'est aimer
- Amis, un dernier mot!
- Amour secret
- Apparition
- Après l'hiver
- Après la bataille
- Attente
- Au bois
- Au bord de la mer
- Au peuple
- Au point du jour, souvent en sursaut, je me lève
- Aucune aile ici-bas n'est pour longtemps posée
- Autre chanson
- Autre guitare
- Aux arbres
- Aux champs
- Aux Feuillantines
- Aux morts du 4 décembre
- Aux proscrits
- Bêtise de la guerre
- Bièvre
- Bon conseil aux amants
- Booz endormi
- C'est à coups de canon qu'on rend le peuple heureux
- C'est la nuit ; la nuit noire, assoupie et profonde
- C'était la première soirée
- Canaris
- Ce qu'on entend sur la montagne
- Ce que c'est que la mort
- Ce que dit la bouche d'ombre (I)
- Ce que dit la bouche d'ombre (II)
- Ce qui n'a pas encore de nom
- Ce qui se passait aux Feuillantines vers 1813
- Ce siècle avait deux ans
- Ce siècle est grand et fort. Un noble instinct le mène
- Cent mille hommes, criblés d'obus et de mitraille
- Certe, elle n'était pas femme et charmante en vain
- Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent
- Chanson (L'Ame en fleur)
- Chanson (Proscrit, regarde les roses...)
- Chanson d'autrefois
- Chanson d'autrefois (autre)
- Chanson de Gavroche
- Chanson de grand-père
- Chanson de pirates
- Chanson des oiseaux
- Chanson du bol de punch
- Chanson pour faire danser en rond les petits enfants
- Chant sur le berceau
- Charles Vacquerie
- Choses du soir
- Clair de lune
- Claire
- Commencement d'une illusion
- Conclusion
- Crépuscule
- Cri de guerre du mufti
- D'après Albert Dürer
- Danger d'aller dans les bois
- Dans ce jardin antique où les grandes allées
- Dans l'alcôve sombre
- Dans l'ombre
- Dans la forêt
- Dans le jardin
- Dante écrit deux vers
- Demain, dès l'aube
- Depuis quatre mille ans il tombait dans l'abîme
- Depuis six mille ans la guerre
- Deux voix dans le ciel
- Dicté en présence du glacier du Rhône
- Dieu fait les questions pour que l'enfant réponde
- Du haut de la muraille de Paris
- Éclaircie
- Ecrit après la visite d'un bagne
- Ecrit au bas d'un crucifix
- Ecrit en 1827
- Ecrit sur la vitre d'une fenêtre flamande
- Ecrit sur le tombeau
- Elle avait pris ce pli
- Elle est gaie et pensive ; elle nous fait songer
- Elle était déchaussée, elle était décoiffée
- Elle était pâle, et pourtant rose
- En écoutant chanter la princesse ***
- En hiver la terre pleure
- En mai
- En marchant la nuit dans un bois
- En marchant le matin
- En sortant du collège
- Enthousiasme
- Envoi des feuilles d'automne
- Épitaphe de Jean Valjean
- Est-il jour? Est-il nuit? horreur crépusculaire!
- Et Jeanne à Mariette a dit
- Être aimé
- Exil
- Explication
- Extase
- Fenêtres ouvertes
- Fonction du poète
- France! à l'heure où tu te prosternes
- Fuite en Sologne
- Fulgur
- Garde à jamais dans ta mémoire
- Georges et Jeanne
- Guitare
- Halte en marchant
- Hermina
- Heureux l'homme occupé
- Hier au soir
- Hier, la nuit d'été, qui nous prêtait ses voiles
- Horror
- Hymne
- Il fait froid
- Il faut que le poète
- Insondable, immuable, éternel, absolu
- J'ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline
- J'aime l'araignée
- J'aime un petit enfant, et je suis un vieux fou
- Janvier est revenu. Ne crains rien, noble femme!
- Je la revois, après vingt ans, l'île où Décembre
- Je n'ai pas de palais épiscopal en ville
- Je ne me mets pas en peine
- Je ne veux condamner personne, ô sombre histoire
- Je ne vois pas pourquoi je ferais autre chose
- Je prendrai par la main les deux petits enfants
- Je pressais ton bras qui tremble
- Je racontais un conte
- Je respire où tu palpites
- Je sais bien qu'il est d'usage
- Je suis enragé. J'aime
- Je suis fait d'ombre et de marbre
- Je suis naïf, toi cruelle
- Je t'aime, avec ton oeil candide
- Je travaille
- Jeanne chante ; elle se penche
- Jeanne dort
- Jeanne endormie
- Jeanne était au pain sec
- Jeanne fait son entrée
- Jeanne songeait
- Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir
- Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites
- Joies du soir
- Jolies femmes
- Jour de fête
- Jour de fête aux environs de Paris
- L'art et le peuple
- L'aube est moins claire
- L'aurore s'allume
- L'autre
- L'échafaud
- L'enfance
- L'enfant
- L'expiation
- L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours
- L'ombre
- L'oubli
- L'univers, c'est un livre
- La blanche Aminte
- La captive
- La chanson de Maglia
- La cicatrice
- La coccinelle
- La conscience
- La douleur du pacha
- La fête chez Thérèse
- La fiancée du timbalier
- La Figliola
- La hache? Non. Jamais
- La méridienne du lion
- La nature
- La nature est pleine d'amour
- La nichée sous le portail
- La pauvre fleur disait au papillon céleste
- La pente de la rêverie
- La plume de Satan
- La prisonnière passe
- La rose de l'infante
- La sieste
- La sortie
- La source
- La source tombait du rocher
- La statue
- La sultane favorite
- La Terre - Hymne
- La tombe dit à la rose
- La vie aux champs
- La ville prise
- La vision de Dante
- Laetitia rerum
- Laissez. - Tous ces enfants sont bien là
- Lazzara
- Le cantique de Bethphagé
- Le champ du potier
- Le couchant flamboyait à travers les bruines
- Le crapaud
- Le crucifix
- Le deuil
- Le doigt de la femme
- Le firmament est plein de la vaste clarté
- Le hibou
- Le manteau impérial
- Le matin
- Le mendiant
- Le poème éploré se lamente
- Le poète bat aux champs
- Le poète dans les révolutions
- Le poète s'en va dans les champs
- Le pot cassé
- Le Progrès calme et fort
- Le ravin
- Le rouet d'Omphale
- Le sacre de la femme - Ève
- Le sacre de la femme - Ineffable lever
- Le satyre
- Le soleil était là qui mourait dans l'abîme
- Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées
- Le trouble-fête
- Le vieillard chaque jour dans plus d'ombre s'éveille
- Les autres en tout sens laissent aller leur vie
- Les Djinns
- Les enfants lisent, troupe blonde
- Les enfants pauvres
- Les femmes sont sur la terre
- Les forts
- Les fusillés
- Les innocents
- Les martyres
- Les oiseaux
- Les pauvres gens
- Les paysans au bord de la mer
- Les siècles sont au peuple
- Les tronçons du serpent
- Lettre à une femme
- Liberté!
- Lise
- Lorsque l'enfant paraît
- Lorsque ma main frémit si la tienne l'effleure
- Lux
- Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé
- Magnitudo parvi
- Mai
- Mais tu brûles!
- Malédiction
- Me voici! c'est moi! Rochers, plages
- Melancholia
- Mes deux filles
- Mes poèmes!
- Mon bras pressait ta taille frêle
- Mors
- Mugitusque boum
- N'envions rien
- N'est-ce pas, mon amour, que la nuit est bien lente
- Non
- Nos morts
- Nous
- Nous allions au verger cueillir des bigarreaux
- Nouvelle chanson sur un vieil air
- Novembre
- Nuit
- Nuit tombante
- Nuits d'hiver
- Nuits de juin
- Ô Charles, je te sens près de moi
- Ô gouffre! l'âme plonge et rapporte le doute
- Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse
- Ô Rus
- Ô soldats de l'an deux!
- Ô souvenirs! printemps! aurore!
- Ô temps! si l'on pouvait dans ton urne profonde
- Oceano nox
- Oh! dis! pourquoi toujours regarder sous la terre
- Oh! je fus comme fou
- Oh! n'insultez jamais une femme qui tombe!
- Oh! pour remplir de moi ta rêveuse pensée
- Oh! quand je dors
- Oh! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage
- On vit, on parle
- Où donc est la clarté? Cieux, où donc est la flamme?
- Où donc est le bonheur? disais-je
- Oui, je suis le rêveur
- Paris bloqué
- Paris incendié
- Paroles sur la dune
- Passé
- Pasteurs et troupeaux
- Pendant que le marin
- Pepita
- Petit Paul
- Pleurs dans la nuit
- Premier mai
- Près d'Avranches
- Printemps
- Prologue
- Promenades dans les rochers (I)
- Promenades dans les rochers (II)
- Promenades dans les rochers (III)
- Promenades dans les rochers (IV)
- Puisqu'ici-bas toute âme
- Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine
- Puisque le juste est dans l'abîme
- Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame
- Puisque nos heures sont remplies
- Pure innocence
- Quand deux coeurs en s'aimant ont doucement vieilli
- Quand la lune apparaît dans la brume des plaines
- Quand le livre où s'endort chaque soir ma pensée
- Quand les guignes furent mangées
- Quand nous habitions tous ensemble
- Que t'importe, mon coeur
- Quelle est la fin de tout?
- Quelques mots à un autre
- Regard jeté dans une mansarde
- Regardez : les enfants se sont assis en rond
- Rêverie
- Ronde pour les enfants
- Rosa fâchée
- Saison des semailles. Le soir
- Sara la baigneuse
- Satan dans la nuit - I
- Satan dans la nuit - II
- Satan pardonné
- Soir
- Soleils couchants
- Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée
- Sous les arbres
- Souvenir de la nuit du 4
- Spectacle rassurant
- Stella
- Sur la falaise
- Sur une barricade
- Suzette et Suzon
- Tous les hommes sont l'Homme
- Toute la vie d'un coeur - 1817 - Adolescence
- Toute la vie d'un coeur - 1819
- Toute la vie d'un coeur - 1820
- Toute la vie d'un coeur - 1822 - Quinze-vingt
- Toute la vie d'un coeur - 1826
- Toute la vie d'un coeur - 1833 - A J
- Toute la vie d'un coeur - 1835 - Promenade
- Tristesse d'Olympio
- Trois ans après
- Tu me vois bon charmant et doux
- Tu rentreras comme Voltaire
- Ultima verba
- Un grand sabre serait d'utilité publique
- Un groupe tout à l'heure était là sur la grève
- Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble
- Un jour au mont Atlas
- Un jour je vis le sang couler de toutes parts
- Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants
- Un manque
- Un soir que je regardais le ciel
- Une bombe aux Feuillantines
- Une femme m'a dit ceci : - J'ai pris la fuite
- Une nuit à Bruxelles
- Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir
- Unité
- Veni, vidi, vixi
- Vénus
- Vere novo
- Vers 1820
- Vieille chanson du jeune temps
- Viens! - une flûte invisible
- Vision sombre! un peuple en assassine un autre
- Vivants
- Voeu
- Voici que la saison décline
- Vois, cette branche est rude, elle est noire
- Voyons, d'où vient le verbe? Et d'où viennent les langues?
- Catégorie : Victor Segalen
- Catégorie : Vincent Campenon
- Catégorie : Vincent Voiture
- Catégorie : Vital D' Audiguier de La Menor
- Catégorie : Wilfrid Challemel
- Catégorie : William Chapman
- Catégorie : Xavier Forneret
- Catégorie : Zoé Fleurentin