Plan du site
Billets
- Catégorie : Jean-antoine de Baïf (continued)
- Épitaphe
- Francine a si bonne grace
- Ha, que tu m'es cruelle
- Haute beauté dans une humble pucelle
- Helas, si tu me vois constant en inconstance
- L'Amour qui me tourmente
- La Rose
- Mets-moi dessus la mer d'où le soleil se lève
- Metz moy au bord d'ou le soleil se lève
- Ô doux plaisir plein de doux pensement
- Ô ma belle rebelle
- Ô Toy par qui jour et nuit je soupir
- Or voy-je bien qu'il faut vivre en servage
- Psaume CXXI
- Psaume V
- Psaume VI
- Quand je te vis entre un millier de Dames
- Quand le pilot voit le nord luire ès cieux
- Quiconque fit d'Amour la pourtraiture
- Tu me desplais, quoy que belle tu soys
- Un jour, quand de lyver l'ennuieuse froidure
- Une amoureuse ardeur
- Vien ça, vien friandelette
- Viens, mort, à mon secours viens
- Catégorie : Jean-baptiste Chassignet
- À beaucoup de danger est sujette la fleur
- Assies toy sur le bort d'une ondante riviere
- Cet océan battu de tempête et d'orage
- Comme petits enfants d'une larve outrageuse
- Conte les ans, les mois, les heures et les jours
- J'ay voulu voyager, à la fin le voyage
- L'enfance incontinent meurt devant la jeunesse
- L'enfance n'est sinon qu'une stérile fleur
- Le malade affligé de la palle jaunisse
- Le temps ne bouge point et jamais ne repose
- Les poissons escaillez aiment les moites eaus
- Notre vie est semblable à la lampe enfumée
- Nous n'entrons point d'un pas plus avant en la vie
- Où pourra-t-on trouver en ce val de misère
- Qu'est-ce de votre vie? une bouteille molle
- Quant bien un homme droit condamné par la rage
- Si tu meurs en jeunesse, autant as tu gousté
- Tantost la crampe aus piés, tantost la goute aus mains
- Catégorie : Jean-baptiste Clement
- Catégorie : Jean-baptiste Poquelin, Dit Moliere
- Catégorie : Jean-baptiste Rousseau
- Catégorie : Jean-baptiste Willart de Grecourt
- Catégorie : Jean-françois de La Harpe
- Catégorie : Jean-françois de Saint-lambert
- Catégorie : Jean-françois Ducis
- Catégorie : Jean-françois Marmontel
- Catégorie : Jean-françois Sarasin
- Catégorie : Jean-jacques Lefranc de Pompignan
- Catégorie : Jean-jacques Rousseau
- Catégorie : Jean-pierre Claris de Florian
- L'auteur et les souris
- L'avare et son fils
- L'aveugle et le paralytique
- L'enfant et le miroir
- L'habit d'Arlequin
- La brebis et le chien
- La carpe et les carpillons
- La chenille
- La coquette et l'abeille
- La fable et la vérité
- La guenon, le singe et la noix
- La jeune poule et le vieux renard
- Le chat et la lunette
- Le chat et le miroir
- Le château de cartes
- Le chien et le chat
- Le grillon
- Le jeune homme et le vieillard
- Le lierre et le thym
- Le renard qui prêche
- Le rossignol et le paon
- Le rossignol et le prince
- Le vacher et le garde-chasse
- Le voyage
- Les deux bacheliers
- Les deux chauves
- Les deux jardiniers
- Les deux voyageurs
- Plaisir d'amour
- Catégorie : Jeanne-marie Guyon
- Catégorie : Jehan Regnier
- Catégorie : Jehan Tabourot, Dit Thoinot Arbeau
- Catégorie : Joachim Bernier de La Brousse
- Arbres feuillus, dont la verdeur première
- Arbres qui lamentez la cruelle infortune
- C'est une folie extrême
- Déjà le ciel prenait sa cape noire
- Déjà Phoebus delà l'Espagne noire
- Je voudrais bien sous la voûte infernale
- L'oiseau miraculeux de l'heureuse Arabie
- Ô Songe doux, ô fantôme croyable
- Par l'effort du destin, ma gentille Cyprine
- Pauvre Ixion, pauvre amant misérable
- Pourquoi de tes dédains sens-je la cruauté
- Pourquoi faut-il que ta face divine
- Qui me peut réjouir puisque tu gis malade
- Tout le long de la nuit et lorsqu'à notre jour
- Vous le dites m'amour? Soyez religieuse
- Catégorie : Joachim Du Bellay
- A l'ambitieux et avare ennemi des bonnes lettres
- A Madame Marguerite, d'écrire en sa langue
- A monsieur d'Avanson
- A son livre
- A Vénus
- Après avoir longtemps erré sur le rivage
- Astres cruels, et vous dieux inhumains
- Au fleuve de Loire
- Au Roi
- Autant comme l'on peut en un autre langage
- Ayant tant de malheurs gémi profondément
- Baif, qui, comme moi, prouves l'adversité
- Brusquet à son retour vous racontera, Sire
- C'est ores, mon Vineus, mon cher Vineus, c'est ore
- C'était alors que le présent des dieux
- C'était ores, c'était qu'à moi je devais vivre
- Ce n'est l'ambition, ni le soin d'acquérir
- Ce n'est le fleuve tusque au superbe rivage
- Ce n'est pas sans propos qu'en vous le ciel a mis
- Celle que Pyrrhe et le Mars de Libye
- Celle qui de son chef les étoiles passait
- Cent fois plus qu'à louer on se plaît à médire
- Cependant qu'au palais de procès tu devises
- Cependant que la Cour mes ouvrages lisait
- Cependant que Magny
- Cependant que tu dis ta Cassandre divine
- Cependant que tu suis le lièvre par la plaine
- Ces grands monceaux pierreux, ces vieux murs que tu vois
- Ceux qui sont amoureux, leurs amours chanteront
- Chant du désespéré
- Combien que ton Magny ait la plume si bonne
- Comme jadis l'ame de l'univers
- Comme l'on voit de loin sur la mer courroucée
- Comme le champ semé en verdure foisonne
- Comme le marinier, que le cruel orage
- Comme on passe en été le torrent sans danger
- Comme un qui veut curer quelque cloaque immonde
- Comte, qui ne fis onc compte de la grandeur
- Cousin, parle toujours des vices en commun
- D'un vanneur de blé aux vents
- Dans l'enfer de son corps mon esprit attaché
- De ce qu'on ne voit plus qu'une vague campagne
- De ce royal palais que bâtiront mes doigts
- De quelque autre sujet que j'écrive, Jodelle
- De voir mignon du roi un courtisan honnête
- De votre Dianet (de votre nom j'appelle
- Dedans le ventre obscur, où jadis fut enclos
- Déjà la nuit en son parc amassait
- Depuis que j'ai laissé mon naturel séjour
- Dessous ce grand François, dont le bel astre luit
- Dessus un mont une flamme allumée
- Digne fils de Henri, notre Hercule gaulois
- Divins esprits, dont la poudreuse cendre
- Doulcin, quand quelquefois je vois ces pauvres filles
- En mille crespillons les cheveux se friser
- Encore que l'on eût heureusement compris
- Espérez-vous que la postérité
- Esprit royal, qui prends de lumière éternelle
- Et je pensais aussi ce que pensait Ulysse
- Et puis je vis l'arbre dodonien
- Finalement sur le point que Morphée
- Flatter un créditeur, pour son terme allonger
- France, mère des arts, des armes et des lois
- Fuyons, Dilliers, fuyons cette cruelle terre
- Gordes, à m'est avis que je suis éveillé
- Gordes, j'ai en horreur un vieillard vicieux
- Gordes, que Du Bellay aime plus que ses yeux
- Heureux celui qui peut longtemps suivre la guerre
- Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage
- Heureux, de qui la mort de sa gloire est suivie
- Ici de mille fards la traïson se déguise
- Il fait bon voir, Paschal, un conclave serré
- J'aime la liberté, et languis en service
- Je fus jadis Hercule, or Pasquin je me nomme
- Je hais du Florentin l'usurière avarice
- Je hais plus que la mort un jeune casanier
- Je me ferai savant en la philosophie
- Je n'ai jamais pensé que cette voûte ronde
- Je n'escris point d'amour, n'estant point amoureux
- Je ne commis jamais fraude ni maléfice
- Je ne découvre ici les mystères sacrés
- Je ne suis pas de ceux qui robent la louange
- Je ne te conterai de Bologne et Venise
- Je ne veux feuilleter les exemplaires Grecs
- Je ne veux point fouiller au sein de la nature
- Je vis haut élevé sur colonnes d'ivoire
- Je vis l'oiseau qui le soleil contemple
- Je vis sourdre d'un roc une vive fontaine
- Je vis un fier torrent, dont les flots écumeux
- L'olive
- La Complaînte du désespéré
- La grecque poésie orgueilleuse se vante
- La jeunesse, Du Val, jadis me fit écrire
- La nef qui longuement a voyagé, Dillier
- La terre y est fertile, amples les édifices
- Las où est maintenant ce mespris de Fortune
- Le Babylonien ses hauts murs vantera
- Le Breton est savant et sait fort bien écrire
- Le grand flambeau gouverneur de l'année
- Les Boys fueilluz, et les herbeuses Ryves
- Loyre fameux, qui ta petite Source
- Magny, je ne puis voir un prodigue d'honneur
- Maintenant je pardonne à la douce fureur
- Malheureux l'an, le mois, le jour, l'heure et le point
- Maraud, qui n'es maraud que de nom seulement
- Marcher d'un grave pas, et d'un grave sourcil
- Mars, vergogneux d'avoir donné tant d'heur
- Maudit soit mille fois le Borgne de Libye
- Morel, quand quelquefois je perds le temps à lire
- Muse, qui autrefois chantas la verte Olive
- N'étant de mes ennuis la fortune assouvie
- N'étant, comme je suis, encore exercité
- Ne lira-t-on jamais que ce dieu rigoureux
- Ne pense pas, Bouju, que les nymphes latines
- Ne t'ébahis, Ronsard, la moitié de mon âme
- Ni la fureur de la flamme enragée
- Non autrement qu'on voit la pluvieuse nue
- Non pour ce qu'un grand roi ait été votre père
- Nous ne faisons la cour aux filles de Mémoire
- Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome
- Ny par les bois les Driades courantes
- Ô beaux cheveux d'argent mignonnement retors
- Ô combien est heureux qui n'est contraint de feindre
- Ô marâtre nature (et marâtre es-tu bien
- Ô qu'heureux est celui qui peut passer son âge
- Ô que celui était cautement sage
- Ô que tu es heureux, si tu connais ton heur
- Ô trois et quatre fois malheureuse la terre
- On donne les degrés au savant écolier
- Ores, plus que jamais, me plaît d'aimer la Muse
- Où que je tourne l'oeil, soit vers le Capitole
- Pâles esprits, et vous ombres poudreuses
- Panjas, veux-tu savoir quels sont mes passe-temps
- Par armes et vaisseaux Rome dompta le monde
- Plus qu'aux bords Aetëans le brave fils d'Eson
- Plus riche assez que ne se montrait celle
- Prélat, à qui les cieux ce bonheur ont donné
- Puis m'apparut une pointe aiguisée
- Qu'heureux tu es, Baïf, heureux, et plus qu'heureux
- Quand ce brave séjour, honneur du nom Latin
- Quand cette belle fleur premièrement je vis
- Quand je te dis adieu, pour m'en venir ici
- Quand je vois ces messieurs, desquels l'autorité
- Quand je voudrai sonner de mon grand Avanson
- Quand le Soleil lave sa tête blonde
- Que dirons-nous, Melin, de cette cour romaine
- Que ferai-je, Morel? Dis-moi, si tu l'entends
- Que n'ai-je encor la harpe thracienne
- Quel est celui qui veut faire croire de soi
- Qui a vu quelquefois un grand chêne asséché
- Qui est ami du coeur est ami de la bourse
- Qui niera, Gillebert, s'il ne veut résister
- Qui voudra voir tout ce qu'ont pu nature
- Qui voudrait figurer la romaine grandeur
- Quiconque, mon Bailleul, fait longuement séjour
- Ronsard, j'ai vu l'orgueil des colosses antiques
- Sacrés coteaux, et vous saintes ruines
- Scève, je me trouvai comme le fils dAnchise
- Seigneur, je ne saurais regarder d'un bon oeil
- Si après quarante ans de fidèle service
- Si celui qui s'apprête à faire un long voyage
- Si fruits, raisins et blés, et autres telles choses
- Si je monte au Palais, je n'y trouve qu'orgueil
- Si l'aveugle fureur, qui cause les batailles
- Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mère
- Si la vertu, qui est de nature immortelle
- Si les larmes servaient de remède au malheur
- Si mes écrits, Ronsard, sont semés de ton los
- Si nostre vie est moins qu'une journée
- Si onques de pitié ton âme fut atteinte
- Si par peine et sueur et par fidélité
- Si pour avoir passé sans crime sa jeunesse
- Si tu m'en crois, Baïf, tu changeras Parnasse
- Si tu ne sais, Morel, ce que je fais ici
- Si tu veux sûrement en cour te maintenir
- Sire, celui qui est a formé toute essence
- Sur la croupe d'un mont je vis une fabrique
- Sur la rive d'un fleuve une nymphe éplorée
- Sur un chapelet de roses du Bembe
- Tant que l'oiseau de Jupiter vola
- Telle que dans son char la Bérécynthienne
- Tels que l'on vit jadis les enfants de la Terre
- Toi qui de Rome émerveillé contemples
- Tout ce qu'Egypte en pointe façonna
- Tout effrayé de ce monstre nocturne
- Tout le parfait dont le ciel nous honore
- Tu dis que Du Bellay tient réputation
- Tu ne crains la fureur de ma plume animée
- Tu ne me vois jamais, Pierre, que tu ne die
- Tu sois la bienvenue, ô bienheureuse trêve!
- Tu t'abuses, Belleau, si pour être savant
- Un plus savant que moi, Paschal, ira songer
- Une louve je vis sous l'antre d'un rocher
- Veux-tu savoir, Duthier, quelle chose c'est Rome
- Villanelle
- Vivons, Gordes, vivons, vivons, et pour le bruit
- Voyant l'ambition, l'envie, et l'avarice
- Vu le soin ménager dont travaillé je suis
- Catégorie : Joris-karl Huysmans
- Catégorie : José-maria de Heredia
- A Claudius Popelin
- A Hermès Criophore
- A Sextius
- A un fondateur de ville
- A un triomphateur
- A une ville morte
- Andromède au monstre
- Antoine et Cléopâtre
- Après Cannes
- Ariane
- Armor
- Artémis
- Au même (A un fondateur de ville)
- Au tragédien E. Rossi
- Aux montagnes divines
- Bacchanale
- Blason céleste
- Bretagne
- Brise marine
- Carolo Quinto imperante
- Centaures et lapithes
- Émail
- Epigramme funéraire
- Epigramme votive
- Épiphanie
- Épitaphe
- Fleur séculaire
- Fleurs de feu
- Floridum mare
- Fuite de centaures
- Hortorum Deus (I)
- Hortorum Deus (II)
- Hortorum Deus (III)
- Hortorum Deus (IV)
- Hortorum Deus (V)
- Jason et Médée
- Jouvence
- L'ancêtre
- L'épée
- L'esclave
- L'estoc
- L'exilée
- L'oubli
- La belle viole
- La centauresse
- La chasse
- La conque
- La Dogaresse
- La flûte
- La jeune morte
- La magicienne
- La mort de l'aigle
- La naissance d'Aphrodité
- La prière du mort
- La sieste
- La source
- La Trebbia
- La vie des morts
- La Vision de Khèm
- Le bain
- Le bain des nymphes
- Le chevrier
- Le cocher
- Le coureur
- Le Cydnus
- Le daïmio
- Le dieu Hêtre
- Le huchier de Nazareth
- Le laboureur
- Le lit
- Le naufragé
- Le prisonnier
- Le ravissement d'Andromède
- Le récif de corail
- Le réveil d'un dieu
- Le samouraï
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- Le tombeau du conquérant
- Le vase
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- Le voeu
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- Pour le vaisseau de Virgile
- Regilla
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- Soir de bataille
- Soleil couchant
- Sphinx
- Stymphale
- Suivant Pétrarque
- Sur l'Othrys
- Sur le Livre des Amours de Pierre de Ronsard
- Sur le Pont-Vieux
- Sur un marbre brisé
- Tranquillus
- Un peintre
- Vélin doré
- Vendange
- Villula (Gallus)
- Vitrail
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- Catégorie : Joseph Quesnel
- Catégorie : Jules Barbey D'aurevilly
- Catégorie : Jules Breton
- Catégorie : Jules de Rességuier
- Catégorie : Jules Laforgue
- Air de biniou
- Aquarelle en cinq minutes
- Arabesques de malheur
- Au large
- Avis, je vous prie
- Clair de lune
- Climat, faune et flore de la lune
- Complainte d'un autre dimanche
- Complainte d'un certain dimanche
- Complainte de la bonne défunte
- Complainte des crépuscules célibataires
- Complainte des pianos qu'on entend dans les quartiers aisés
- Complainte sur certains ennuis
- Couchant d'hiver
- Cythère