Plan du site
Billets
- Catégorie : Paul Verlaine (continued)
- Dans la grotte
- Dédicace
- Dernier espoir
- Donc, ce sera par un clair jour d'été
- Ecoutez la chanson bien douce
- Ecrit sur l'album de Mme N. de V
- Effet de nuit
- En bateau
- En robe grise et verte avec des ruches
- En septembre
- En sourdine
- Es-tu brune ou blonde?
- Et j'ai revu l'enfant unique : il m'a semblé
- Femme et chatte
- Green
- Grotesques
- Hier, on parlait de choses et d'autres
- Il faut, voyez-vous, nous pardonner les choses
- Il ne me faut plus qu'un air de flûte
- Il pleure dans mon coeur
- Images d'un sou
- Impression de printemps
- Impression fausse
- Intérieur
- J'ai presque peur, en vérité
- J'allais par des chemins perfides
- Je devine, à travers un murmure
- Je ne suis pas jaloux de ton passé, chérie
- Je ne veux plus aimer que ma mère Marie
- Je suis plus pauvre que jamais
- Je suis venu, calme orphelin
- Je voudrais, si ma vie était encore à faire
- Jésuitisme
- Jusques aux pervers nonchaloirs
- Kaléidoscope
- L'allée
- L'amour de la Patrie est le premier amour
- L'amour par terre
- L'angélus du matin
- L'angoisse
- L'aube à l'envers
- L'auberge
- L'échelonnement des haies
- L'ennemi se déguise en l'Ennui
- L'espoir luit comme un brin de paille dans l'étable
- L'heure du berger
- L'heure exquise
- L'hiver a cessé : la lumière est tiède
- L'immensité de l'humanité
- La Belle au Bois dormait
- La bise se rue à travers
- La cathédrale est majestueuse
- La dure épreuve va finir
- La mer est plus belle
- La neige à travers la brume
- La princesse Bérénice
- La pucelle
- La soupe du soir
- La vie est bien sévère
- La vie humble aux travaux ennuyeux et faciles
- Laisse dire la calomnie
- Lamento
- Langueur
- Le bruit des cabarets, la fange du trottoir
- Le ciel est par-dessus le toit
- Le clown
- Le faune
- Le foyer, la lueur étroite de la lampe
- Le paysage dans le cadre des portières
- Le piano que baise une main frêle
- Le pitre
- Le poète et la muse
- Le soleil du matin doucement chauffe et dore
- Le son du cor s'afflige vers les bois
- Le squelette
- Les chères mains qui furent miennes
- Les coquillages
- Les faux beaux jours
- Les indolents
- Les Ingénus
- Les vaincus
- Lucien Létinois (I)
- Lucien Létinois (XXIV)
- Luxures
- Mains
- Mais Sa tête, Sa tête!
- Malines
- Mandoline
- Marine
- Mon rêve familier
- Monsieur Prudhomme
- Mort!
- N'est-ce pas? en dépit des sots et des méchants
- Né l'enfant des grandes villes
- Nevermore
- Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste!
- Nous sommes en des temps infâmes
- Nouvelles variations sur le Point du Jour
- Ô mon Dieu, vous m'avez blessé d'amour
- Ô triste, triste était mon âme
- Ô vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies
- On n'offense que Dieu
- Pantomime
- Pantoum négligé
- Parfums, couleurs, systèmes, lois!
- Paris
- Paysages Belges
- Pensionnaires
- Per amica silentia
- Pierrot
- Pour E
- Pourquoi triste, ô mon âme
- Prière
- Prologue
- Promenade sentimentale
- Puisque l'aube grandit, puisque voici l'aurore
- Que ton âme soit blanche ou noire
- Résignation
- Sagesse d'un Louis Racine, je t'envie!
- Sappho
- Si tu le veux bien, divine Ignorante
- Simples fresques
- Soleils couchants
- Son bras droit, dans un geste aimable de douceur
- Sonnet boiteux
- Spleen
- Sur l'herbe
- Sur le balcon
- There
- Torquato Tasso
- Tournez, tournez, bons chevaux de bois
- Toute grâce et toutes nuances
- Tristia
- Tu crois au marc de café
- Tu fus une grande amoureuse
- Tu n'es pas du tout vertueuse
- Un dahlia
- Un grand sommeil noir
- Un pouacre
- Une Sainte en son auréole
- Va ton chemin sans plus t'inquiéter
- Va, chanson, à titre-d'aile
- Vendanges
- Vers dorés
- Vers pour être calomnié
- Vers sans rimes
- Voeu
- Voix de l'Orgueil : un cri puissant comme d'un cor
- Vous êtes calme, vous voulez un voeu discret
- Catégorie : Paul-jean Toulet
- A l'Alcazar neuf, où don Jayme
- A Londres je connus Bella
- Aimez-vous le passé
- Ainsi, ce chemin de nuage
- Alcôve noire
- Amarissimes
- Au détour de la rue étroite
- Avril, dont l'odeur nous augure
- Bayonne! Un pas sous les Arceaux
- Boulogne
- C'était longtemps avant la guerre
- C'était sur un chemin crayeux
- C'était, dans les vapeurs du nard
- Carthame chatoyant, cinabre
- Ce fut par un soir de l'automne
- Ces roses pour moi destinées
- Cet huissier, qui jetait, l'été
- Chevaux de bois
- Comme à ce roi laconien
- Comme les dieux gavant leur panse
- D'un noir éclair mêlés
- Dans la rue-des-Deux-Décadis
- Dans le lit vaste et dévasté
- Dans le silencieux automne
- De tout ce gala de province
- Dessous la courtine mouillée
- Douce plage où naquit mon âme
- Éléphant de Paris
- Embrassez-moi, petite fille
- En Arles
- En souvenir des grandes Indes
- Enfin, puisque c'est Sa demeure
- Épitaphe
- Fô a dit
- Géronte d'une autre Isabelle
- Il pleuvait. Les tristes étoiles
- In memoriam J. G. M
- Industrieux fils de Dédale
- Iris, à son brillant mouchoir
- J'ai beau trouver bien sympathique
- J'ai vu le Diable, l'autre nuit
- L'Alchimiste
- L'immortelle, et l'oeillet de mer
- L'ingénue
- La Cigale
- La première fois
- La vie est plus vaine
- Le coucou chante
- Le Garno
- Le microbe : Botulinus
- Le sonneur se suspend, s'élance
- Le temps d'Adonis
- Le tremble est blanc
- Les trois dames d'Albi
- Longtemps si j'ai demeuré seul
- Molle rive dont le dessin
- Nane, as-tu gardé souvenir
- Nocturne
- Non, ce taxi, quelle charrette
- Nous jetâmes l'ancre, Madame
- Ô jour qui meurs à songer d'elle
- Ô poète, à quoi bon chercher
- On descendrait, si vous l'osiez
- Pâle matin de Février
- Plus oultre
- Pour une dame imaginaire
- Princes de la Chine
- Puisque tes jours ne t'ont laissé
- Quand l'âge, à me fondre en débris
- Quel pas sur le pavé boueux
- Quelquefois
- Réveil
- Rêves d'enfant
- Saigon : entre un ciel d'escarboucle
- Soir de Montmartre
- Sur l'océan couleur de fer
- Sur le canal Saint-Martin glisse
- Tandis qu'à l'argile au flanc vert
- Tel variait au jour changeant
- Toi qu'empourprait
- Toi qui fais rêver, ô brune
- Toi, pour qui les dieux du mystère
- Tout ainsi que ces pommes
- Toute allégresse a son défaut
- Trottoir de l'Élysé'-Palace
- Un Jurançon 93
- Vous qui retournez du Cathai
- Vous souvient-il de l'auberge
- Catégorie : Pauline de Flaugergues
- Catégorie : Pernette Du Guillet
- À qui plus est un Amant obligé
- A un sot rimeur, qui trop l'importunait d'aimer
- Aucuns ont dit la Théorique
- C'est un grand mal se sentir offensé
- C'est une ardeur d'autant plus violente
- Celle clarté mouvante sans ombrage
- Combien de fois ai-je en moi souhaité
- Comme le corps ne permet point de voir
- Coq-à-l'âne
- Dames, s'il est permis
- Désespoir
- Heureuse est la peine
- J'ai été par un long temps déçue
- Jà n'est besoin que plus je me soucie
- Je ne crois point ce que vous dites
- Je suis la Journée
- Je suis tant bien que je ne le puis dire
- Je te promis au soir que
- L'une vous aime, et si ne peut savoir
- La fortune envieuse
- La nuit était pour moi si très-obscure
- Le Corps ravi, l'Âme s'en émerveille
- Le grand désir du plaisir admirable
- Le haut pouvoir des Astres a permis
- Mômerie des cinq postes d'Amour
- Ô vraie amour, dont je suis prise
- Or qui en a, ou en veut avoir deux
- Par ce dizain clairement je m'accuse
- Parfaite amitié
- Point ne se faut sur Amour excuser
- Pour une anatomie
- Prenez le cas que, comme je suis vôtre
- Quand vous voyez, que l'étincelle
- Qui dira ma robe fourrée
- Sais-tu pourquoi de te voir j'eus envie
- Sans connaissance aucune en mon Printemps j'étais
- Si j'aime cil, que je devrais haïr
- Si je n'ai pu comme voulois
- Soit que par égale puissance
- Un seul je hais, qui deux me fait aimer
- Catégorie : Petrus Borel
- Catégorie : Philibert Bugnyon
- Catégorie : Philippe Desportes
- A pas lents et tardifs tout seul je me promène
- Amour en même instant m'aiguillonne et m'arrête
- Amour, tu es aveugle et d'esprit et de vue
- Arrête un peu, mon Coeur, où vas-tu si courant?
- Autour des corps, qu'une mort avancée
- Blessé d'une plaie inhumaine
- C'était un jour d'été de rayons éclairci
- Celui que l'Amour range à son commandement
- Celui qui n'a point vu le printemps gracieux
- Cependant que l'honnêteté
- Ceux qui liront ces vers qu'en pleurant j'ay chantez
- Chanson
- Chaste soeur d'Apollon dont je suis éclairé
- Contre une nuit trop claire
- D'une fontaine
- De mes ans la fleur se déteint
- Douce Liberté désirée
- Durant les grand's chaleurs, j'ai vu cent mille fois
- Elle pleurait, toute pâle de crainte
- Éloignant vos beautés, je vous laisse en ma place
- Enfin les dieux bénins ont exaucé mes cris
- Enfin, l'Amour cruel à tel point m'a rangé
- Epigramme
- Epouvantable Nuit, qui tes cheveux noircis
- Hélas! si tu prens garde aux erreurs que j'ay faites
- Icare est chu ici, le jeune audacieux
- J'ai dit à mon désir : pense à te bien guider
- J'ai longtemps voyagé, courant toujours fortune
- Je crois que tout mon lit de chardons est semé
- Je l'aimais par dessein la connaissant volage
- Je ne refuse point qu'en si belle jeunesse
- Je ressemble en aimant au valeureux Persée
- L'âpre fureur de mon mal véhément
- Las! je ne verray plus ces soleils gracieux
- Las! que me sert de voir ces belles plaines
- Le tens leger s'enfuit sans m'en apercevoir
- Ma nef passe au destroit d'une mer courroucée
- Marchands, qui recherchez tout le rivage more
- Misérables travaux, vagabonde pensée
- Nuict, mere des soucis, cruelle aux affligez
- Ô bien heureux qui peut passer sa vie
- Ô mon coeur plein d'ennuis, que trop prompt j'arraché
- Ô Songe heureux et doux! où fuis-tu si soudain
- Pourquoi si follement croyez-vous à un verre
- Prière au sommeil
- Qu'on m'arrache le coeur, qu'on me fasse endurer
- Quand j'approche de vous, et que je prends l'audace
- Quand je pouvais me plaindre en l'amoureux tourment
- Quand nous aurons passé l'Infernale rivière
- Quand quelquefois je pense à ma première vie
- Que servirait nier chose si reconnue
- Que vous m'allez tourmentant
- Rosette, pour un peu d'absence
- S'il est vrai que le ciel ait sa course éternelle
- Si la foi plus certaine en une âme non feinte
- Si la loi des amours saintement nous assemble
- Si la vierge Erigone, Andromède, et Cythère
- Solitaire et pensif, dans un bois écarté
- Sommeil, paisible fils de la Nuit solitaire
- Sonnet spirituel (XVIII)
- Sur les abysmes creux des fondements poser
- Un ivoire vivant, une neige animée
- Vos yeux, belle Diane, ont autant de puissance
- Vous n'aimez rien que vous, de vous-même maîtresse
- Catégorie : Philippe Fabre D'eglantine
- Catégorie : Philippe-auguste-mathieu Villiers de L'isle-adam
- Catégorie : Pierre Augustin Caron de Beaumarchais
- Catégorie : Pierre Baour-lormian
- Catégorie : Pierre Choderlos de Laclos
- Catégorie : Pierre Corneille
- Catégorie : Pierre de Brach
- Catégorie : Pierre de Croix
- Catégorie : Pierre de Marbeuf
- Conclusion des beautés d'Amaranthe
- Discrétion
- Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage
- Je disais l'autre jour
- L'anatomie de l'oeil
- L'Iris
- La bouche d'Amaranthe
- La liberté des champs fait décrire à Silvandre
- Le miracle d'amour
- Le sein d'Amaranthe
- Le Solitaire
- Les cheveux d'Amaranthe
- Les joues d'Amaranthe
- Les mains d'Amaranthe
- Les oreilles d'Amaranthe
- Les yeux d'Amaranthe
- Songe
- Sur le retour d'Hélène à Paris
- Un manteau de feuille morte
- Catégorie : Pierre de Ronsard
- A Cupidon
- À la forêt de Gastine
- A lui mesme
- A sa lyre
- A son âme
- Ah longues nuicts d'hyver de ma vie bourrelles
- Amour me tue, et si je ne veux dire
- Amour, je ne me plains de l'orgueil endurci
- Amour, tu sembles
- Amourette
- Ange divin, qui mes plaies embaume
- Autre du même à la même dame
- Avant le temps tes temples fleuriront
- Bien que les champs, les fleuves et les lieux
- Bonjour mon coeur, bonjour ma douce vie
- Ce beau corail, ce marbre qui soupire
- Ce jour de Mai qui a la tête peinte
- Ces liens d'or, cette bouche vermeille
- Chanson
- Ciel, air et vents, plains et monts découverts
- Comme on voit sur la branche au mois de may la rose
- Comme un chevreuil, quand le printemps destruit
- Contre Denise Sorcière
- Contre les bucherons de la forest de Gastine
- Dans le serein de sa jumelle flamme
- Dedans des Prez je vis une Dryade
- Donne moy tes presens en ces jours que la Brume
- Douce Maîtresse
- Elégie à Janet, peintre du roi
- Epitafe de Francois Rabelais
- Foufroye moy de grace
- Ha! que je porte et de haine et d'envie
- Hinne à la Nuit
- Il faut laisser maisons et vergers et jardins
- J'ai l'esprit tout ennuyé
- J'ai pour maitresse
- Je n'ay plus que les os, un Schelette je semble
- Je ne suis seulement amoureux de Marie
- Je plante en ta faveur cet arbre de Cybèle
- Je veus lire en trois jours l'Iliade d'Homere
- Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse
- Je voudrais bien richement jaunissant
- Je voudrais être Ixion et Tantale
- Je vous donne des oeufs. L'oeuf en sa forme ronde
- Je vous envoye un bouquet que ma main
- L'an se rajeunissait en sa verte jouvence
- Le boyteus mari de Vénus
- Le Ciel ne veut, Dame, que je jouisse
- Le soir qu'Amour vous fit en la salle descendre
- Le vintieme d'Avril couché sur l'herbelette
- Ma maîtresse est toute angelette
- Madrigal
- Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi
- Marie, à tous les coups vous me venez reprendre
- Marie, baisez-moi ; non, ne me baisez pas
- Marie, levez-vous, ma jeune paresseuse
- Marie, que je sers en trop cruel destin
- Marie, qui voudrait votre beau nom tourner
- Marie, vous avez la joue aussi vermeille
- Marie, vous passez en taille, et en visage
- Meschantes nuicts d'hyver
- Mignonne, allons voir si la rose
- Mon Dieu, que j'aime à baiser les beaux yeux
- Ni de son chef le trésor crépelu
- Ny voir flamber au point du jour les roses
- Ô doux parler, dont l'appât doucereux
- Ô Fontaine Bellerie
- Ode à Cassandre
- Ode à l'Aloüette
- Ode à la fièvre
- Ode en dialogue des yeux et de son coeur
- Ode en dialogue, l'Espérance et Ronsard
- Odelette
- Odelette à l'Arondelle
- Odelette à sa maistresse
- Odelette a son bouquet
- Odelette à une jeune maîtresse
- Ores l'effroi et ores l'espérance
- Par un destin dedans mon coeur demeure
- Petit nombril, que mon penser adore
- Plus mille fois que nul or terrien
- Plût-il à Dieu n'avoir jamais tâté
- Pour son tombeau
- Pourtant si ta maîtresse
- Pren ceste rose aimable comme toy
- Quand au temple nous serons
- Quand en songeant ma folâtre j'acolle
- Quand je pense à ce jour, où je la vey si belle
- Quand je suis tout baissé sur votre belle face
- Quand je suis vingt ou trente mois
- Quand je te voy seule assise à par-toy
- Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle
- Que tu es Cicéron
- Qui voudra voir comme un Dieu me surmonte